Lost Behind Hell
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Certaines guerres font l'histoire ; d'autres la changent ...
 
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 « Sa beauté était tel que celle de la nature qui nous entourait; Eurydice.

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Adonis N. McShore

Adonis N. McShore


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MessageSujet: « Sa beauté était tel que celle de la nature qui nous entourait; Eurydice.   « Sa beauté était tel que celle de la nature qui nous entourait; Eurydice. EmptyMar 7 Avr - 21:42

    Photo & Citation à venir; le temps pour moi d'héberger


    J'avais beau avoir mille et une chose à faire, j'étais tout autant concentré par l'envie de dégourdir mes jambes dans cette grande ville, que de me hâter à mes taches. J'avais toujours eu cette particularité à repousser les choses au lendemain, ce qui ne me paraissait pas d'une grande importance. De nos jours, on appelle cela de la fainéantise. Mais je me fais très facilement des clichés sur les mots à forte importance. Vous voyez cet homme allongé qui ne porte vraisemblablement qu'un caleçon, sur son canapé; une canette de bière à moitié vide dans une main, la télécommande prêt à changer n'importe qu'elle chaîne documentaire dans l'autre ? Je le vois très bien aussi, c'est de se cliché là que je vous parle. Alors que bons nombres sont fainéant sur le moment; mais finirons par ne plus l'être un jour ou l'autre. J'avais donc tout le loisir de vagabonder dans les rues de cet amour de Belfast. Une appellation qui me fait parfois sourire, puisqu'il fut un temps, qui ne s'échappera sûrement jamais de ma mémoire; où cette ville ne songeait que catastrophe et atrocité. Mais elle restera toujours cette grande ville ou j'ai grandit, la trace de mes parents y est encore, je la sens parfois au coin d'une rue, ou dans un café peu bondé. Ma mémoire d'humain, qui ne me permet que d'aller qu'à un nombre très restreint d'années passés. Et je ne regrette sûrement pas d'effacer certains de mes souvenirs qui ne mériteraient pas d'être revécu, mentalement du moins. Je me permet toute fois de garder ce qui m'est indispensable, et le garder autant de temps qu'il me le faut, sans y échapper une seule information. Mais le sujet actuel n'est pas ma façon de retenir les années qui m'échappent entre les doigts, c'est plutôt ma vie que je vis chaque minute en ce bas monde. Je faisais cet acte qui ne semble pas si anodin pour chaque être, je marchais, à une vitesse plutôt constante. Il semblait que mes pieds faisaient une course, l'un contre l'autre, et qu'ils ne voulaient se laisser dépasser. Je ne savais d'ailleurs où cela m'emmenait, j'avais entière confiance en mon intuition, qui me faisait voyager dans des endroits encore inconnue certaine fois. Or ce jour ci, où la brume tombait peu à peu sur la ville, on ne percevait qu'une journée paisible et sans grande importance. L'air qui s'échappait de mes lèvres, comme cherchant à trouver une porte de sortie sur le monde, se dissipait en fumé au dehors. Il faisait encore frais, mais la journée n'était qu'à son commencement, et seulement quelques rares personnes avaient eu le courage de s'extirper d'un lit chaleureux, pour la froideur du ciel. Je faisais partit de ces personnes, mais pour bien d'autres raisons. Cette ambiance morose ne m'intimidait guère, comme n'importe quel jour à mes yeux. Le temps peut se montrer aimant en nous apportant chaleur et luminosité, ou bien égoïste et nous reprendre ces quelques éclaircies, je ne changerais pas d'humeur pour autant.

    Il n'y avait donc pas de meilleur temps pour pouvoir s'échapper d'un univers ou les murs sont vos maîtres, et ou vous êtes enfermés sous ces couches de béton. Les seuls fois ou je m'étais rendu dans des lieux historiques, ce devaient être deux semaines auparavant, mais je n'étais pas seul, et l'ennui de m'avait donc pas toucher. Mais en ce jour, chaque lieu me semblait commun, et ce jardin se levait devant moi, comme une fleur au printemps, bourgeonnant au soleil. J'avais donc embarquait pour un petit passage entre toutes ces couleurs qui s'était sur la palette de vert. La nature et ces secrets, comme souvent m'avait fait rêver ma mère. Une des seules choses auxquels l'humain n'a d'ordre et de pouvoir, même s'ils tentent vainement de détruire tous ces rêves. Je n'avais certainement pas à l'idée de rencontrer une personne connu à mon esprit. Mais j'aimais le plus souvent être suivit d'une personne, ou bien même plusieurs. La compagnie de quelqu'un est pour moi chose importante. On ne peut remplacer une complicité et un échange de parole, lorsque l'on est seul. Bien des gens se morfondent dans leurs coins, préférant la vaste solitude, à toutes cette gaieté si facilement offerte.

    Un banc assez rude, au planches cloués de bois, s'était gentiment offert à ma venue. A peine après avoir enfilé quelques rangés de somptueuses plantes. La poche droite de mon blouson contenait le paquet de cigarette qui me hantait depuis de folles secondes. Et je tentais de résister à cette pression qui me contrôlait. Réduit au niveau d'esclave face à cette infâme mélange qui composait ces tubes blanchâtres. J'avais tant de fois perdu un sacré bout de temps pour l'arrêt définitif de cette vulnérabilité en moi. Mais donnez moi une simple raison de perdre une chose qui vous procure tant de bien. Seulement pour ajouter à votre vie cinq ans tout au plus. Cinq ans que j'aurais très bien pu perdre face à cet arrêt qui m'aurait facilement rongé jusqu'aux ongles.


    Spoiler:
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Eurydice M. MacMillan
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Eurydice M. MacMillan


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Citation: « je veux bien faire la belle mais pas domir au bois ; je veux bien être reine mais pas l'ombre du roi. »

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MessageSujet: Re: « Sa beauté était tel que celle de la nature qui nous entourait; Eurydice.   « Sa beauté était tel que celle de la nature qui nous entourait; Eurydice. EmptyJeu 9 Avr - 21:19


    Spoiler:

    On se réveille dans l'obscurité sans plus rien savoir. Où est on , que se passe - t - il ? L'espace d'un instant , on a tout oublié. On ignore si l'on est enfant ou adulte , homme ou femme , coupable ou innocent. Ces ténèbres sont - elles celles de la nuit ou d'un cachot ? On sait seulement ceci , avec d'autant plus d'acuité que c'est le seul bagage : on est vivant. On ne l'a jamais tant été : on n'est que vivant. En quoi consiste la vie en cette fraction de seconde où l'on a le rare privilège de ne pas avoir d'identité ? En ceci : on a peur. Or , il n'est pas de liberté plus grande que cette courte amnésie de l'éveil. On est un bébé qui connaît le langage. On peut mettre un mot sur la découverte innommée de notre naissance : on est propulsé dans la terreur du vivant. Durant ce laps de pure angoisse , on ne se rappelle -même pas qu'au sortir du sommeil peuvent se produire de tels phénomènes. On se lève , on cherche la porte , on est perdu comme à l'hôtel. Et puis les souvenirs réintègrent le corps en un éclair et lui rendent ce qui lui tient lieu d'âme. On est rassuré et déçu : on est donc cela , on n'est donc que cela. Aussitôt se retrouve la géographie de sa prison … Autant de sentiments et sensations que je ne connaîtrais jamais. Ma prison est l'éternité ; je suis condamnée à l'insomnie à perpétuité. Les chances qu'un jour je me sente vivante sont aussi maigres que celles de voir le monde un paix un jours. Je n'ai jamais connu la vie ; pas à proprement parlé du moins. L'égoïsme de mes parents les ont poussés à faire deux ans qui vivraient pour l'éternité. Je suis une fière représentante de la génération mort vivant. J'ai le sang pur ; l'argent et la vie devant moi. Autant d'ingrédients qui en ferait rêver plus d'un alors que moi ; ils me hantent chaque jours de ma triste vie.

    Si l'histoire de Belfast remonte à l'âge de pierre, la ville d'aujourd'hui a gardé une grande empreinte de la guerre. Chaque coin de rue ; chaque trottoir ; chaque pavé s'en ressent. L'odeur qui règne en maître dans la ville est celle de la terreur. Pourtant ; Belfast est la seule ville à ne pas avoir été touchée par cette guerre. Pas de sang sur les murs , pas de maisons brûlés , pas de corps éparpillés un peu partout. Les gens d'ici sont loin d'imaginer là chance qu'ils ont. Non ; ils se contente de craindre une nouvelle attaque sans pour autant faire quelque chose pour éviter une telle chose. Ces mêmes gens qui nous méprise pour ce que nous sommes seraient prêt à tout pour qu'on se trouve sur leur passage le jours où une nouvelle guerre éclatera. Je suis emplis d'amertume. J'ai en horreur la race humaine. Ils sont juste bon à me servir de nourriture. Un discours bien sombre ; digne d'un dictateur. Si je déteste souvent ce que je suis devenue ; je déteste encore plus ce que j'ai été dans le passé. Être parfaitement consciente de l'absurdité de ses pensées et ne pouvoir les contrôler est une chose déstabilisante ; même pour moi. Se remettre encore et toujours en question l'est encore plus. Il n'y a pas de solution à mon problème , je suis juste condamnée à être mal dans ma peau pour l'éternité. Cependant je dois l'avouer ; être incomprise me plaît. J'aime voir le regard des gens se poser sur moi. Ils semblent à la fois fasciné et terrifié. Si j'en tire une certaine satisfaction ; je me refuse à croire que je suis une personne narcissique. J'ai beaucoup de défaut ; mais probablement pas celui là. Alors ils sont là ; à me qualifier comme quelqu'un d'hautaine , fière , sûre de moins. Ils me jugent et croient me connaître. Les gens me font sourire ; l'absurdité de leur propos surtout.

    Ce matin là ; je revenais de la forêt avoisinante. Un des rares lieux de vie encore sur pied en Irlande. M'abreuver de sang était devenue plus que nécessaire , la soif qui m'habitait depuis plusieurs jours faisait que j'avais de plus en plus de mal à me contrôler. A de nombreuses reprises j'ai manqué de sauter sur une personne au sang un peu trop sucré. Cela ne me pose en réalité aucun problème de tuer les humains pour me nourrir. Il s'agit juste là de la chaîne alimentaire. Le faire en pleine rue ; devant tout le monde. C'est une autre histoire. Et puis ; il ne s'agissait pas de n'importe quelle personne. C'était lui. La raison qui justifiait ma présence dans cette ville trois ans après la fin de la guerre. Un humain , un simple humain. Je me résignais à en faire ma proie même si je le savais ; il aurait été un de mes plus délicieux festin. Mais non. Il était le seul à savoir attisé un minimum d'intérêt pour quelqu'un d'autre que moi ; callypso ou pandore , c'était un exploit. Des jours et des semaines entières que je suivais son odeur sans en savoir conscience. Chasser était un impératif si on ne voulait pas retrouver son cadavre et je du me contenter d'un cerf en guise de compensation.

    Mes habitudes étaient tel que le passait par le château de Belfast dés que j'en avais l'occasion. Ce lieu remplis d'histoire me plaisait et j'ai toujours eu un goût prononcé pour les endroits presque aussi vieux que moi. Mon allure était vive ; je ne touchais même pas le sol. Je savais pertinemment que les chances de croiser quelqu'un a cette heure était infime ; surtout par ce temps. La brume ne délogeait plus , au grand plaisir d'Eurydice. Arrivé aux hauteurs du château ; cette odeur si particulière lui chatouilla les narines et la fit stopper net. Il était là ; à même pas cinquante mètre si la jeune fille se fié à son odorat. Un petit bruit bien particulier , sans doute celui d'un briquet , confirmé les pensées de la noble. Rechercher le contact n'était pas une chose familière pour Eurydice et pourtant ; elle ne put se résoudre à partir. Adoptant une allure plus raisonnable ; sa silhouette ne tarda pas à se dessiner devant Adonis Narcisse McShore.

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Adonis N. McShore

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MessageSujet: Re: « Sa beauté était tel que celle de la nature qui nous entourait; Eurydice.   « Sa beauté était tel que celle de la nature qui nous entourait; Eurydice. EmptySam 9 Mai - 16:33




    Il y a toujours un obstacle, une aiguille, quelque chose qui n’est pas prévu et qui arrive dans votre vie. Cette chose qu’on ne peut contrôler, et qui nous échappe si facilement. Un filée qui glisse sur la surface de notre peau. Un destin bouleversé par un semblant de rien. Chaque personnes sur terre à connu son moment de déroutement. Celui qui lui a fait perdre les vrais valeurs, celui qui lui a fait changer de chemin. Mais chaque personne à aussi son moments d’intenses joies, celui qu’ils n’oubliera jamais et qu’ils ne vendraient pour aucune somme connue dans ce monde. On a tous des hauts et des bas. Des jours où il est facile d’ouvrir les paupières, de se mettre en marche comme on met en marche une machine ou de l’électro ménager. Durant ces journées où l’on arrive à marcher, à respirer, à manger, des bases dans une vies, qui nous sont pourtant nécessaire pour notre survie. Tous ces jours sont suivit de désagréable. Ceux où la rêche matière, le tissu, l’enveloppe qui essaye de vous réchauffer du mieux qu’il peut durant la nuit, sa fait si lourd qu’il vous est impossible d’y sortir. Même en combattant, vous vous sentez submerger d’un incroyable doute. Et votre journée ne se passe pas comme les autres. Vous oublier de manger, vous ne bougez plus, vous ne prenez même plus la peine d’expirer et d’inspirer normalement. Ca n’en devient même plus une habitude. Toutes ces choses qui vous sont vitales et que vous voudriez quitter un instant pour en ressentir les conséquences. Il est bien las de découvrir que les humains sont dépendants d’une quantité de choses. Aussi futile les unes que les autres.


    Adonis n’a jamais ressentit le besoin de changer d’espèces, mais depuis qu’il en connaît bien d’autres, il y pense. Parfois entre deux pouffements de rires, il ne prend pas ce qu’il pense au sérieux, et n’imagine même pas sa vie à changer. Si habituer à un chemin semblable depuis qu’il est sur cette terre. Il ne se voit pas changer de plans du tout au tout, devoir se rebaptiser des bases solides pour ne pas perdre les pieds, ne pas sentir autres. C’est d’ailleurs en pensant à cela qu’il éprouve beaucoup de compassion envers son frère. Lui qui n’a pas choisit, qui n’a rien demander à personne, et qui se retrouve bouleversé du tout au tout. On peut se dire que ce n’est rien, mais ce serait pareil que de vous couper une jambe. Comment allez vous marcher si vous êtes différent ? Il faut voir ça partout, son frère à changer, et il n’y peut rien. Il vit avec.


    Heureusement pour Adonis, il n’était pas de ces garçons qui s’apitoyer sur leurs sors, et encore moins sur le sors des autres. C’était son frère, alors s’était différent. Il faisait partit intégrante de lui, il le connaissait depuis toujours, sa ne pouvait qu’être différent. Mais pour ces autres personnes qui n’ont pas choisit, la question est plus difficile. Bien sur, ce n’était pas de leurs fautes, pour la plupart, ils étaient nées avec. Comme pour Eurydice. Mais au fond, que connaissait-il d’elle ? Il ne pouvait la juger sur ce qu’il était, du peu qu’il l’a connaissait, s’était bien pour cela qu’il ne le faisait pas. Eurydice était comme incroyable loin de lui, et si proche, en même temps. Je vous l’accorde, c’est une sensation assez étrange, surtout pour Adonis, qui n’avait pas ressentit cette élan de curiosité depuis un moment. D’ailleurs, qu’elle personne l’avait déjà fasciner à ce point ?


    Souvent, quand on parle d’une personne, le futur nous aide à nous rapprocher de la vérité. Il n’avait pu échapper à ces pensées qu’une silhouette gracieuse se déposait devant ces yeux, créant ainsi un cache lumière face à toutes ces couleurs qu’Adonis avait eu le temps de voir. Si droite, mais pas pourtant effrayante. Du moins, pour lui. Si belle, mais pas d’une beauté passable comme toutes ces humaines, sa beauté était flagrante. Adonis l’avait d’ailleurs immédiatement vu avancer, on ne pouvait la rater. Il n’était qu’un humain aussi, si naïf à ces instincts. Sa cigarette se consuma entre ces lèvres alors qu’il laissa un mince espace entre ces doigts et sa bouche entrouverte.


    Eurydice..


    Cela devait faire un moment qu’il n’avait pas distinguer son prénom à vif voix. D’ailleurs, il n’avait jamais vraiment tenu de conversation avec elle. Souvent très brief, ils n’avaient échangés que quelques signes, ou des mots qui se bousculaient maintenant dans l’esprit de l’humain. Que dire à une personne qu’on n’est sensé ne pas connaître, et pour qui on tient tout de même un intérêt assez fort.


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