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| | •• The world only goes round by misunderstanding ; CALLYPSO. |  |
| | | Auteur | Message |
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Callypso A. Wells
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| | Sujet: •• The world only goes round by misunderstanding ; CALLYPSO. Sam 28 Mar - 13:34 | |
|  « L'éternité est longue... Surtout vers la fin.». Woody Allen <3 && ouries.
■ ( et de ) un ; mon petit moi
NOM. PRENOM(S):
Je m'appelle Callypso Aphrodite Wells. Je dois mon nom à mon cher et tendre père. Un anglais qui partit s'enrichir sur les côtes écossaises où il rencontrera alors ma mère. Inutile donc de préciser que mon nom de famille n'est pas purement irlandais, et que mes origines sont plus complexes que cela. Surtout quand on connait mon prénom. Là, vous vous dîtes que la mythologie a joué un sacré rôle dans mon éducation. Et c'est vrai. Je dois tout à Homère, sans lequel j'aurais hérité d'un nom si commun et platonique. Eleanor. Jolie mais si ancestral que s'en est dérangeant. Je suis fière de mon prénom. Avoir héritée du nom d'une nymphe qui pu convaincre pendant sept ans Ulysse de rester avec lui, je trouve que ça force le respect. Et s'il y a bien une chose pour laquelle Calypso est connue c'est bien sa beauté, n'est ce pas? Aphrodite, j'aime beaucoup mon deuxième prénom aussi. Même si cette déesse est bien plus connue et me donne parfois un air narcissique. S'appeler comme la déesse de la beauté et de l'amour n'est ce pas là un trait particulier de mon caractère? A ma connaissance je suis la seule qui puisse prétendre à porter le nom de cette déesse adulée de la Grêce Antique. Et j'en suis fière.
SURNAME:
Je ne supporte pas les surnoms. Ils installent une complicité avec laquelle je ne suis pas toujours à l'aise. Ne vous fiez pas à mon air angélique et à mon sourire mielleux ils cachent une profonde antipathie à l'égard de celui qui osera me donner un surnom. Pourtant, je ne suis pas si inaccessible et si associable que je peux le laisser paraitre. Il vous suffira juste d'avoir fait ma connaissance cinq cents années plus tôt pour oser prétendre à me donner un surnom et m'appeler amie. Du moins si j'en ai décidé ainsi. Elles ne sont que deux à pouvoir prétendre à une telle estime de ma part. Deux seulement avec qui les siècles paraissent des minutes et qui peuvent alors oser me nommer Cally. Puisqu'il s'agit du surnom le plus évident qu'on puisse me donner. Je ne suis pas contre ce surnom, je l'aime même bien je ne sais pas pourquoi je trouve qu'il passe aussi plus facilement de nos jours et éveille moins de soupçons sur ma véritable nature. Il m'est arrivé parfois de me faire connaître sous mon pseudonyme de Cally mais je suis si fière de mon prénom qu'il m'a été difficile de le dissimuler et j'ai rapidement repris l'habitude de me nommer par mon vrai prénom.
AGE& PLACE OF BIRTH:
Tu ne me croirais même pas si je te le disais. Mais je ne suis pas de celle qui aime garder les secrets, je ne suis pas de celle qui chipotent pour donner leur âge puisque le mien restera éternellement le même. Je suis donc âgée de vingt ans et ce pour la fin des temps. Depuis combien de temps? Depuis l'année mille cinq cents vingt-deux. Ouais, autant dire un bon pacson d'années. J'ai donc vu le jour une magnifique journée de février, pluvieuse par dessus le marché en Écosse, plus précisément dans un château à Wick, tout au Nord de ce superbe pays. Quand je vous disais que mes origines étaient complexes vous comprenez sans doute pourquoi désormais. Je suis fière d'être native d'Écosse. J'aime particulièrement mon pays et avec mes cinq cent sept années d'existence j'ai plusieurs fois pris la peine d'y retourner. Après tout, en cinq cents sept ans de vie je vous assure qu'on a le temps de voir des choses. Si on peut appeler ça "vie"...
NATIONALITY:
Mes parents ne sont pas morts, eux non plus. Ils sont partis se réfugier en Amazonie mais j'ai grâce à eux pu me souvenir de tout ce qui me composait et des origines de ma naissance. Ma mère est une jeune femme issue de l'aristocratie française et mon père est quant à lui un anglais de pur souche, fièrement attachée à son pays et à sa reine qu'il considère comme sa mère. Je suis donc un jolie melting-pot européen. Je suis aussi d'origine écossaise puisque j'ai pour la première fois sentit mon cœur battre - mais ce que pour une vingtaine d'années - dans une superbe ville de ce pays. Avec trois origines différents je pense qu'on peut dire de moi que je suis issue d'un beau métissage de nationalités et je crois que c'est ce qui fait mon charme. Une beauté française et un charme anglais. De quoi faire tourner bien des têtes, ne vous en faîtes pas pour moi. J'en suis parfaitement consciente.
NATURE.GROUPE:
A jamais tienne. T'aimer pour l'éternité. Si j'étais à même de comprendre ces sentiments je pourrais les prononcer sans mentir. Car au contraire des idiots humains qui peuplent cette terre je vivrais pour l'éternité. A jamais figée dans mes vingt ans. Je suis une de celle qui pourrait peupler ton monde fantastique. Une de celle qui à une peau blanche à en frémir et des yeux qui trahissent ses émotions. Je ne suis pas une poupée de cire. A moins que ces dernières ne soient à même de te sucer le sang pour ne laisser de toi qu'une carcasse fragile sur le bord d'un trottoir. Oui, désormais tu peux frémir puisque mes cinq siècles d'existence m'ont permis une totale confiance en moi. Tu sais désormais ce que je suis. Une de celle qu'on appelle parfois monstre. Au contraire, je te protège des malfaiteurs de ton genre. "Eternity to taste". Je ne l'aurais pas mieux dit moi même...
OCCUPATION:
Il m'en faut peu pour m'occuper. Depuis que je sais que le temps ne m'est plus compté, depuis que je sais que le seul ennemi qui jouait contre moi à était terrassé je ne me lasse jamais, ou alors je prends plaisir à vaguer près des côtes irlandaises. Marcher, j'adore ça, enfin courir. J'adore sentir cette vitesse dans mes jambes et il m'arrive souvent de partir chasser donc, une des principales occupations de ma vie de vampire. Ensuite? Et bien, je suis toujours enchantée par mes virées shopping avec Pandore. Elle est pleine de géniaux conseils, mais les vêtements nous vont toujours et je m'en lasse donc rapidement. Enfin, la lecture occupe souvent mes après midis même si j'ai déjà lu la plupart des œuvres. Il m'arrive souvent de jouer au piano, seul instrument que je sache jouer avec la harpe.
■ ( et de ) quatre ; joue le jeu
Lou (a)
AVATAR: Clémence Poésy 
SEXE: Féminin
AGE: Dix sept printemps prochainement...
BREVE DESCRIPTION: Nan mais tu rigoles ou quoi?! C'est pas Meetic ici hein x)
PRESENCE: /7 Je dirais 6/7 généralement.
COMMENT AS TU CONNU LE FORUM?: Il me semble que c'était par PRD, mais j'suis pas sure...
CODE: code ok by OCTOBER
AUTRE:  Amoureuse du forum et de mon perso. Je me dépêche pour la fiche mais je ne pense pas la terminer aujourd'hui, peut-être demain si j'ai plus de temps mais avant samedi prochain, c'est sur.
Dernière édition par Callypso A. Wells le Sam 28 Mar - 15:45, édité 2 fois | |
| | | | Callypso A. Wells
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| | Sujet: Re: •• The world only goes round by misunderstanding ; CALLYPSO. Sam 28 Mar - 13:35 | |
| ■ ( et de ) deux ; je pense donc je suis
Aah, je sais vous les femmes ne m'aimez pas. Pourquoi? Sans doute parce que voir votre compagnon se retourner sur mon passage vous ennuie, sans doute parce que la jalousie vous perdra un jour. Sans doute aussi parce que ma beauté vous surpasse. Quoiqu'on en dise il faudrait être bien grand menteur pour ne pas me trouver jolie. D'accord, les blondes ne sont pas toujours appréciées à leur juste valeur. Vues comme des femmes belles en apparence mais sans aucune estime intellectuelle ou comme des provocatrices et des voleuses d'hommes je peux parfois vous donner une telle impression. Mais ne vous méprenez pas, je ne suis pas une mangeuse d'homme et encore moins une pimbêche, pour ce qui est du narcissisme c'est une autre histoire. Car,oui. Je n'ai pas peur de dire que je me trouve belle. Je ne changerais rien chez moi et heureusement, rien ne changera plus jamais. Mes cheveux blonds le resteront à jamais. En effet ils retomberont toujours en cascade dans mon dos avec de légères ondulations. Un blond pur, un blond de blé qui ne fut jamais altéré par des teintures. Quelle horreur! Pourquoi changer la couleur de ses cheveux? Et puis, chassez le naturel, il revient au galop, n'est ce pas? J'ai au moins cette fierté, le naturel. Il faut aussi avouer qu'au XVIème siècle, il était difficile de passer chez le coiffeur. J'ai donc une couleur assez atypique. Une base châtain et un blond progressif sur des cheveux fins et à jamais soyeux. La pluie, la bruine peuvent tomber ils ne changeront plus de forme. Ils resteront aussi doux et soyeux qu'ils le sont déjà. La seule partie de mon corps apte à se modifier désormais n'est autre que mes yeux. Ils sont grands, bon l'adjectif n'est pas très explicite mais laissez moi vous expliquer. Je n'ai pas des yeux globuleux, le genre d'oeil qu'on remarque vingt mètres plus loin. Je n'ai pas ce regard élargi, tout en longueur et qualifié d'amande. Non, mais yeux ont la taille d'une olive, à peine plus et sont suffisamment profond pour capter l'attention des gens qui m'entourent. La chose que je regrette le plus, c'est leur couleur. Avant de transformer en celle que je suis, ils étaient bleus. Le bleu qu'on retrouve en mer quand le soleil se lève, ni trop foncé, ni trop clair mais avec des nuances qui laissent penser qu'une vie mystérieuse s'y cache. Je suis bien contrariée de ne trouver désormais qu'un noir, un rouge sang pour hanter mes pupilles. Mais après tout je n'en suis pas plus contrariée que ça. Il s'agit là d'un charme à part entière et si ça ne fascine pas, au moins ça effraie et les gens les plus trouillards - et qui ne méritent donc pas ma confiance - pourront aller voir ailleurs sans gêner ma quiétude. Ma faim habille mon œil. Si ma beauté est paralysée, si je peux restée immobile des heures, mes yeux finiraient par me trahir, c'est là la seule certitude que j'ai. Rassurez vous humains, ils sont la plupart du temps noirs tout simplement mais la malice qui m'est propre à tendance à faire luire mon regard d'une teinte bordeaux qui ne définit pas un état de faim mais un amusement total. Enfin, si mes yeux ne vous font pas comprendre que je m'amuse allègrement de vous, mon sourire sera sans doute assez explicite. J'ai un visage très expressif quand je le veux et maintenant que mon regard a perdu un peu de sa vie je suis à même de me servir de mon sourire. C'est fou tout ce qu'on peut alors faire comprendre. Avec mes lèvres rosées et fines, avec me bouche sensuelle sans être vulgaire et trop disgracieuse et cette fossette en creux de joue, une moue peut vous faire courir plus loin, ou au contraire vous inciter à poser votre tête sur mon épaule. Attention cependant, il suffirait que mes lèvres se retroussent de trop pour qu'il soit trop tard pour vous pour faire demi tour. En effet, il serait bien possible que je vous mange tout cru. Aaah, sale humour de vampire. Pas de problèmes, il faudrait pour ça que vous soyez un criminel en cavale. Cependant, je ne suis pas sure que vous auriez trouvé le courage de partir devant moi. On m'a souvent dit que j'étais trop maigre. Étant jeune je ne me nourrissais pas trop de sang animal et mes parents ne voulaient pas me donner trop de sang humain. Je crois que c'est de là que je tiens mon anatomie et mes formes... Je suis fine, très fine et de taille moyenne mais les gens ont toujours cru que j'étais, genre, dans l'anorexie. Une tendance à voir le mal partout il faut croire. Non, je tiens juste de ma mère sa silhouette élancée et ses courbes fines et qui font de mon corps, un corps onduleux si l'ont peut dire. Je crois vraiment que je dégage quelque chose. Je le sais de toute façon, rien que ma façon de marcher dénote parmi les humains. Les femmes peuvent avoir peur de moi. Un regard pourrait me suffire pour les enterrer sous terre...
On dit toujours que la nature des femmes est difficile, c'est on ne peut plus vrai et je suis celle qui confirme la règle. Je ne pense pas être quelqu'un de très facile à vivre. Je suis profondément paradoxale, j'aime avoir toujours raison et je ne supporte pas qu'on me contredise. Il n'y a que peu de personnes à qui je ne réponds pas par des répliques acides et mauvaises. Elles sont deux en réalité. Eury et Pandy sont les deux seules que je ne me permettrais jamais de juger et de reprendre. Elles peuvent, à loisir, me contredire sans provoquer mon irascibilité mais elles sont des exceptions, et il y a les autres. Pour tout ceux qui se pensent supérieurs à moi je leur réserve de bien douces surprises. Douces? Pour moi en tout cas, j'aime en faire voire de toutes les couleurs aux gens que je côtoie. Et la moindre des choses qu'on puisse dire c'est que je suis surprenante. Je ne me laisse jamais marcher sur les pieds et il m'arrive parfois de perdre le contrôle de moi même et de redevenir une jeune femme de vingt ans avec l'insouciance et la légèreté qui rime à cet âge. J'oublie mes cinq cents vingt sept ans d'existence pour redevenir joyeuse et animée de ce sens de l'humour vaseux qui me caractérise si bien. Enfin, peu on pu se rendre compte que ma gorge était l'origine d'éclats de rire et je crois que je suis mal perçue. D'accord, je suis quelqu'un d'assez renfermée qui n'aime pas traîner avec n'importe qui mais de là à me traiter d'associable... Enfin, je trouve ça drôle, dans le sens ou je trie mes relations et que les gens peuvent dire ce qu'ils veulent sur moi, ils n'entreront dans mon cercle privilégié de connaissances que si je le veux bien. Je choisis en effet avec précaution les gens qui partagent mon quotidien. J'aime être bien entourer et pour ça, pas besoin de mille personnes. Surtout quand on en connaît pas la moitié. Je suis intimement persuadée que si je le voulais je pourrais être amie avec qui je souhaite. Mais ça ne fait pas partie de mon mode de vie. Je suis quelqu'un de très méticuleux. Et ça va bien au delà de ma manie manique. Non, je suis surtout quelqu'un qui n'aime pas quand je ne maîtrise pas quelque chose. je peux être reine dans la manipulation et l'intimidation est mon rayon. Quand on ne me connait pas, cela s'entend parce qu'au fond je suis bien incapable de faire du mal à quelqu'un mais je pousse les gens à bout pour voir de quoi ils sont capables. C'est mon jeu préféré, voir le caractère profond des gens à travers leurs réactions. Ce qui explique que j'ai fait psychologie. Je n'ai pas oublié mes cours. Parce que j'aime être culturée, et croyez moi, je le suis, et aussi parce que ma mémoire ne me trahira pas. Je ne me souviens pas de mon existence humaine mais je n'a perdu aucun mémoire de ma vie d'immortelle et les visages ont tous un nom. Je n'oublie pas les gens quand je les vois, même s'ils n'ont aucune importance pour moi. Ainsi, avec une vilaine attirance pour la rancune impossible pour moi de pardonner quand on me fait mal. Cependant, vous le verrez jamais. En effet, je ne laisse jamais percevoir que je pourrais être blessée. J'intériorise tous mes sentiments et je ne dévoile jamais mes faiblesses. C'est sans doute la pire chose que je pourrais faire ce qui donne de moi une impression d'inaccessibilité qui ne me déplaît pas. C'est d'ailleurs grâce à ça que j'attire les hommes à moi. Parce que j'enchaîne les relations avec les hommes qui me plaisent mais surtout je les tue. Du moins les criminels. Je joue de ma beauté que je connais parfaitement et je les attire vers moi pour aspirer chaque goutte de sang de leur veines. Je me fais un malin plaisir à les faire tourner en bourrique et à les faire souffrir avant même si je sais qu'on ne doit pas jouer avec la nourriture, je considère qu'ils doivent payer, au delà de la mort ils doivent souffrir pour comprendre le mal qu'ils font. Enfin, sadique? Oui, un peu mais qu'avec eux, les autres ne méritent pas de souffrir s'ils ne m'ont rien fait. Cependant, comme vous aurez pu le remarquer je suis narcissique et ça amène parfois les gens à penser que je suis égoïste mais ils se trompent. Narcisse ça vient de la mythologie, il se transforma en fleur -du même nom- après avoir vu son reflet pour la première fois dans une rivière et où il ne voulut alors plus jamais bouger mais je ne suis pas comme ça. Je suis du genre à prendre confiance en elle, et le narcissisme ne fait pas de moi un monstre. Je ferais tout pour ceux qui me sont chers et c'est pourquoi je mets un point d'honneur à classer tous mes amis. N'entre pas dans mon cercle proche qui veut. Parce que ceux qui y sont, je les surveille, jusqu'à offrir mon immortalité pour eux. Ils font partit intégrante de moi. Je crois qu'on reconnait les vrais amis à ça et même si peu de personne sont réellement à même de me comprendre, la poignée de privilégiés le peu, et c'est sans aucun doute le plus important.
J'erre sur Terre depuis un peu plus de cinq siècles vous ne pensez tout de même pas que j'ai passé mon temps à me tourner les pouces. Non, j'ai fait des études, beaucoup. Je suis allée en tout dans six universités différentes mais j'ai surtout fait des études de psychologies, j'ai ensuite étudier la physique, puis le commerce et enfin je suis retournée aux sciences en m'intéressant à l'anatomie et aux secrets du corps humain. Cependant, je n'ai pu intégrer cette université qu'au bout de deux siècles, persuadée que je pourrais me contenir. J'ai appris depuis toute jeune le piano et aujourd'hui encore il m'arrive souvent d'en jouer, comme la harpe. Je suis amoureuse de la littérature et de la philosophie et il m'arrive souvent de lire et d'écrire même si cette deuxième activité m'est moins bénéfique je pense surtout que notre espèce a besoin de se faire entendre. Ma grande passion reste la danse. Avec des mouvements aériens, ma mémoire et mon aptitude à ne pas m'épuiser je suis très douée. Rien qu'en marchant, je danse. J'ai toujours fait l'admiration de beaucoup de personnes qui ont reconnu en moins une grande danseuse mais je ne vois là que ma nature est pas un réel don puisqu'il m'est impossible de faire des concours et encore moins d'en faire mon métier. Je pars donc souvent m'isoler, et je danse pendant des heures pour mon unique plaisir. J'aime aussi beaucoup marcher, enfin si on peut appeler ça comme ça. Je cours bien trop vite pour appeler ça de la marche mais ça me permet de voir de nouveaux pans de cette Irlande chérie même si en ce moment j'espace de plus en plus mes balades, tant elle a été défigurée par la guerre. La chasse reste également une grande occupation pour moi mais je préfère de loin voyager autour du monde pour m'offrir de meilleurs gibiers. Car comme beaucoup de vampires, l'éternité me permet de voir tout ce qu'il me faut apprendre. Ainsi, je sais parler sept langues différentes : l'anglais, le français, l'espagnol, l'italien, le finois, le russe et le polonais. Oui, je pense qu'on peut aisément dire que je suis une femme accomplie...
Dernière édition par Callypso A. Wells le Dim 29 Mar - 18:21, édité 3 fois | |
| | | | Noah G.Tawnsend
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| | | | | Callypso A. Wells
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| | | | | Invité
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| | Sujet: Re: •• The world only goes round by misunderstanding ; CALLYPSO. Sam 28 Mar - 17:55 | |
| Bienvenue et je rajouterai comme Noah,
très bon choix de perso ^^ |
| | | | Eurydice M. MacMillan
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| | Sujet: Re: •• The world only goes round by misunderstanding ; CALLYPSO. Sam 28 Mar - 21:03 | |
| - callypso je t'aime. déjà parce que tu as pris clémence mais alors aussi & surtout parce que tu écris à la perfection. xD
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| | | | Callypso A. Wells
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| | Sujet: Re: •• The world only goes round by misunderstanding ; CALLYPSO. Dim 29 Mar - 19:35 | |
| ■ ( et de ) trois ; écris moi une histoire
  « Offre moi ces fleurs de décembre, et laisse mon cœur s'éteindre en posant mes lèvres sur leurs pétales. »
C'était un jour de février, pluvieux par dessus le marché mais la météorologie n'était pas très diverse en Écosse, il ne fallait donc pas s'attendre à un beau ciel parsemé de nuageux langoureux et feignants qui s'endorment dans l'azur. Non, cette nuit là le ciel était particulièrement hérissé et c'est donc couvert par le tonnerre que je poussai mon premier cri. Puissant, vif, annonciateur d'une faim saisissante et d'un caractère pour le mois machiavélique. Mais c'est bien connu, on pardonne tout à un bébé beau. Le problème pour mes parents c'est que j'étais bien trop belle pour résister à un de mes sourires et j'avais déjà compris à cette époque que je n'aurais jamais aucun problème pour me démarquer du groupe, pour devenir exceptionnel tout m'était offert pour réussir mon immortalité et mon premier cri signifiait sans aucun doute "Attention, j'arrive!". Ou quelque chose comme ça. Peu importe puisque depuis ce jour mon destin est tracé - mais je ne crois s pas en ce dernier - et qu'il ne me reste qu'à faire mes preuves. La réussite ne tient qu'à moi, la beauté d'une existence entre mes mains.
  « Peu importe le chemin, peu importe le temps, tant que je sais qui je suis et où je veux aller. »
Pluton Hermès Wells n'était pas un de ces anglais calculateurs et distingué. Âgé de trois mille cinq cents années, il errait sur terre à la recherche d'une âme pour partager sa solitude. Pluton était l'image même du Dieu à qui il emprunta le prénom. Il signifie richesse et fécondité des terres mais est réputé pour son courroux, sa manie lunatique et sa faible générosité. Pluton était identique à ce modèle grec. Il était de ceux qui aimaient que les gens soient intimidés par lui et il forçait au respect par un regard. Il a toujours été très apprécié de tous et c'est lui même qui engendra la légende décerné au Dieu. Les grecs le redoutaient et lui offraient des sacrifices des animaux et les condamnés à mort était - dit-on - envoyés par Pluton qui bénissait les vermines de la nature. Trois mille cinq cents ans à partager la couche de quelques femmes triviales lasse, rapidement et Pluton voulut tomber amoureux. Que son âme se confonde à une autre était tout son souhait. Arriva alors Hestia Procris. Hestia doit son nom à la sœur de Zeus. Selon la légende pour échapper aux pulsions d'Appolon et de Poséïdon elle put garder sa virginité à jamais. Mais Hestia représente avant tout la sécurité d'un foyer, l'amour familial et la bonté à l'état pur. Bien sûr, Hestia n'est pas cette vierge effarouchée mais la générosité et l'amour maternel s'échappent de ses pores et lorsqu'elle rencontre Pluton il fut évident qu'ils avaient trouvé là chacun ce qu'il cherchait. Heureusement pour Hestia, elle n'avait pas du attendre aussi longtemps que son mari puisqu'elle errait sur terre depuis seulement mille ans - ce qui peut paraitre un euphémisme pour de simples humains.
Ils se marièrent rapidement. Ils rêvaient tout deux de s'établir rapidement mais ils voulurent surtout prendre leur temps et profiter de leur liberté de vampire, ainsi, il mirent quatre cents ans avant de décider d'avoir un enfant. Moi en l'occurrence. La seule et unique descente de la famille Wells. Mes parents décidèrent de s'établir en Écosse quelque temps. Avec les années, enchaînant les professions, se faisant rapidement un cercle proche d'amis et surtout pouvant profiter des années et des siècles ils avaient à eux deux un beau compte en banque qui leur permirent de s'offrir le luxe d'un château. Ils ne mangeaient que des animaux, du moins ma mère qui était d'une nature trop bonne pour enlever la vie à des humains qu'elle jugeait pourtant de sous-race. Elle n'a jamais compris comment ils pouvaient se contenter de manger, dormir et s'entretenir et pourquoi ils ne profitaient pas du temps. Aujourd'hui, observant souvent les humains je me rends compte à quel point elle a raison. Cependant, mon père, lui n'était pas emprunt d'une si douce nature et il se fichait bien de voir dans les yeux de ses victimes la crainte, la peur et la mort. Les voyageurs perdus étaient en fait tout simplement passé trop loin du château où je vis le jour, à peine quarante ans après que mes parents si soient officiellement installés, loin du monde des humains, accueillant tous les nomades où tous ceux qui n'étaient pas nobles et qui avaient entendu de cette si respectable famille Wells. | |
| | | | Callypso A. Wells
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| | Sujet: Re: •• The world only goes round by misunderstanding ; CALLYPSO. Dim 29 Mar - 19:36 | |
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  « Tu es cette ombre sur le mur, ce fantôme dans mes cauchemars. Approche moi et je saurais faire face. »
Quand je suis née, j'étais semblable à la rosée le matin, délicate et fraîche, attendue par tant de végétations, bercée par le soleil qui doucement fait disparaitre ces douces gouttelettes. Si mes parents avaient passé ensemble bien des siècles il était évident que l'amour était toujours aussi présent et je me faisais un plaisir d'évoluer dans la chaleur d'un tel foyer. Même si mes souvenirs sont corrompus et que je ne garde de mon enfance que des brides de dialogue avec mes parents, ils me racontèrent tout ce qui me berça, tout ce qui se passa et comment j'avais évolué avec eux. Ma mère m'avait inculqué tant que faire se peut les notions d'héroïsme et de générosité, de bonté et de savoir vivre. Mon père, lui, sans rien tenter de m'enseigner m'avait tout de même appris à être la jeune femme que vous connaissez aujourd'hui : inconsciente, hautaine et intouchable. Celle qui me caractérise le plus sans aucun doute. J'ai très vite évolué dans le monde construit par mes parents, dans cette petite bourgade d'Écosse où jamais passé mes parties de chasse et faire résonner les notes de piano partout dans la forêt qui nous entourait. Je me souviens de ça, de mon envie d'en apprendre toujours plus. Lecture, musique, art, tout y passé et même si je n'excellais pas pour tout ce qui touchait à l'art : sculpture, peinture, dessin, j'étais douée pour la littérature et la musique sans aucun doute. Seulement je ne passionnait pas du tout pour tout ce qui touchait au monde des sciences au grand damne de mon père. Lui qui a toujours été un grand scientifique il ne comprenait pas que sa fille n'est pas hérité des mêmes gênes et il avait beau m'avoir fait rencontre Léonard de Vinci, il n'en était rien quant à mon amour pour les mathématiques et les sciences en général. Il avait donc fini par abandonner et ma mère et ses livres avaient remporté cette petite guerre froide.
Seulement, nous avons fini par partir. L'Écosse devenait étouffante, trop petite et la nature ne satisfaisait pas du tout mes parents. Je me souviens cependant très bien qu'avant de partir nous avons assisté au mariage d'une jeune fille, une noble, comme moi. Pourtant nous sommes très rares mais elle aussi, était comme moi je voyais là le moyen de faire d'elle une parfaite amie et quelqu'un qui pourrait m'être proche mais quand j'ai vu le carnage qu'était devenu la cérémonie j'ai vite fait machine arrière. Cette jeune femme était un monstre et à voir le sourire qu'elle avait eu devant le reste de cadavre de son futur époux je me doutais bien que le meurtre n'était pas anodin et qu'il s'agissait d'elle. Persuadée qu'elle l'avait tué j'avais tout de même fait sa connaissance. Eurydice. On oublie pas un nom comme celui ci surtout son sourire si angélique et machiavélique à la fois. J'étais intimement persuadée qu'elle avait tué son futur fiancé et j'étais totalement fascinée par sa faculté à ne pas se laisser marcher dessus, à s'affirmer et à aller jusqu'au bout pour défendre ses opinions. Je trouvais ça vraiment incroyable et j'ai donc décidé que moi aussi il me faudrait m'affirmer mais je n'en voyais pas encore totalement l'utilité et je restais donc auprès de mes parents pour apprendre d'eux. Mais je me promis de rapidement revoir cette Eurydice si particulière et mystérieuse, car il fallait avouer qu'elle dégageait quelque chose de particulier et même si je ne savais pas encore que je voyais en elle en plus d'un modèle, une jeune femme qui serait pour moi une sœur j'étais déjà persuadée que je la reverrais un jour.
  « J'aurais pu te tuer, sentir ta vie entre mes mains, mais tu n'as pas eu peur, du monstre. De moi. »
Paris. J'ai décidé de me figer dans mes dix huit ans. Puisque c'est là que Baptiste est tombé amoureux de moi. Je suis arrivée à Paris quelques jours après le supposé mariage de cette Eurydice et je ne suis pas déçue par cette ville. Noire et grise, la guerre frappe sans cesse, comme la maladie et la pauvreté mais nous, bourgeois, ne craignons rien. Baptiste, c'était le fils d'un grand commercial. Nous nous sommes connus dans les premières semaines de mon arrivée et je suis tombée sous le charme de cet humain. Je le voyais en secret dans le dos de mes parents et j'adorais ça, j'adorais ce secret autour de notre relation. Le jeu de la séduction opérant, il m'arriva vite de me retrouver dans son lit et de partager avec lui ma première expérience, qui ne serait alors pas la dernière. Puis, voyant que mon cher et tendre prenait les traits de la vieillesse et de la maturité, j'ai décidé de reprendre ma croissance pour le suivre jusqu'aux vingt ans. Ce fut la dernière fois que je recommençais à stopper le temps. Après et depuis ce jour je fus à jamais immobilisé dans mes vingt ans. Finalement, mes parents ont fini par être au courant de notre relation. Il ne fallait pas être idiot et n'importe quel vampire de ce rang aurait reconnu le parfum de son corps contre le mien. Mon père me permit de l'épouser, à condition que je ne fasse pas de lui quelqu'un comme moi pour le garder à jamais et contre tout avec moi. Je ne fis rien et nous nous mariâmes un jour de juillet. Paris rayonnait, moi aussi. Et je ne savais pas encore que ma plus belle surprise n'était pas encore là. Mes parents nous aidèrent à nous construire et participèrent entièrement - ou presque - à notre installation. Elle fut modeste à comparer du château de mon enfance mais je me fichais bien du confort tant que Baptiste pourrait rester avec moi. Nous connûmes un an de véritable bonheur.
Puis, Arinye vint pointer le bout de son temps. J'étais tombée enceinte, et je fus mère à mes vingt ans. Je vieillissais alors toujours et Baptiste et moi avions trouvé là le plus beau cadeau que jamais nous n'aurions pu recevoir. Je me souviens de ce bonheur totale, de cette utopie parfaite quand elle vint se poser contre mon sein et que pour la première fois je voyais une éclairci dans mon monde. Car si la vie fut belle avec mon époux j'étais toujours obligée de m'absenter pour aller manger à l'extérieur et il avait toujours cru que j'étais une de celle qui n'aimait pas manger devant leur mari. J'avais fait passer ça pour une simple tradition familiale. Il n'avait pas posé de questions. Mais le bonheur est toujours de courte durée et Satan c'est bien joué de moi. Dans ce paradis que nous avions construit, l'horreur surgit. J'étais partie chasser en ville. Je comptais tuer un vieux, histoire de ne pas tuer un innocent mais depuis quelques jours mes cernes s'accentuaient malgré mes chasses. J'avais donc compris que les malades n'étaient pas bons pour moi et je changeais de régime, errant dans les rues loin de mon agréable logis pour ne pas avoir envie de manger enfant et mari. Alors que je venais de trouver la proie parfaite et que rapidement je revenais chez moi, l'horreur me saisit. C'était un soir lourd. Un de ces soirs où le ciel semble vous tomber sur la tête, comme un couvercle lourd et pesant qui vous nargue et où la chaleur vous donne du mal à respirer même si je n'avais pas ce problème. Imaginez seulement quelques minutes l'effroi qui me parcourut quand je vis devant moi le feu lécher avidement les murs de ma maison. Si j'avais pu pleurer, s'il m'avait été donné de m'abandonner à cette faiblesse humaine, croyez moi je l'aurais fait. Mais avec le temps les souvenirs se sont effacés et j'ai décidé de me figer dans mes vingt ans même si ce fut l'année la plus néfaste de mon existence. Elle me permet de me souvenir de ce que je fus et surtout c'est depuis ce temps que je garde profondément enfoui tout sentiment.
  « Puisse ma beauté a jamais être conservée puisqu'elle n'est qu'un reflet de mon âme à jamais défigurée. »
Morte depuis mes vingt ans j'ai revu le soleil quand Eurydice est venue prendre des nouvelles de ma famille. Quelle ne fut pas ma surprise! Là je n'ai plus besoin des souvenirs de mes parents pour éveiller ma mémoire. Je me rappelle parfaitement avoir trouvé en elle tout le soutient qu'il me fallait pour passer au delà de ma profonde tristesse. Elle me permit de devenir plus forte et celle que je suis aujourd'hui. Passant à Paris elle était venue prendre des nouvelles de la seule famille noble des alentours. Nous sommes si peu nombreux que quelques repères avaient du lui faire du bien. Quel soulagement quand je l'avais vue venir à la maison. J'étais persuadée alors en l'existence d'un destin - qui maintenant ne me touche plus - et je me disais en moi même qu'elle était désormais la seule qui pourrait me faire oublier le drame dans lequel j'avais été plongé. Je m'imposais donc dans son voyage pour la suivre partout. Je sais très bien qu'elle ne voulait pas partager sa route et pour donner une référence totalement puérile et contemporaine je dirais que j'étais l'Âne dans Shrek. C'est la seule image qui me vient en esprit mais comme eux, nous sommes devenues de très proches amies. Je la considère comme celle qui m'a tout appris et à qui je dois tout. Ensemble, nous avons décidé d'arrêter de tuer des innocents pour nous contenter des meurtriers et nettoyer un peu la planète. Ainsi, nous avons tué pour une bonne raison lors de cette guerre. Nous sommes partis en Irlande et depuis nous n'avons pas bougé. Installées je devine surtout qu'Eurydice a trouvé ici quelqu'un qui lui est profondément cher, cet humain lui fera perdre la tête. Pour ma part j'ai bien trop de choses à penser avec ce surdoué Artémis. Il me faut me renseigner auprès de lui. Il me semble tout à fait parfait et si et pour un hybride il est tout à fait charmant...
- Citation :
- Et voilà, j'ai terminé. Merci à tous pour vos gentils commentaires. (L)
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| | | | Eurydice M. MacMillan
admin exigeante _ beauté glaciale & redoutable.
Nombre de messages : 826
Groupe : vampire
Statut : noble
Surnoms : eury pour les intimes.
IDENTiTY PiC :
«Follow me»
Soundtrack: « i was borken » _ robert pattinson.
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Citation: « je veux bien faire la belle mais pas domir au bois ; je veux bien être reine mais pas l'ombre du roi. »
| | | | | Callypso A. Wells
« i lie down and blind myself with laughter ;
Nombre de messages : 72
Groupe : Vampire
Statut : Noblesse vampirique...
Surnoms : Cally.
IDENTiTY PiC :
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Soundtrack: Smother me; The Used.
Relationship':
Citation: Step off the train all alone at dawn Back into the hole where I was born The sun in the sky never raised an eye to me The blood on the trax and must be mine The fool on the hill and I feel fine
| | | | | Eurydice M. MacMillan
admin exigeante _ beauté glaciale & redoutable.
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Citation: « je veux bien faire la belle mais pas domir au bois ; je veux bien être reine mais pas l'ombre du roi. »
| | Sujet: Re: •• The world only goes round by misunderstanding ; CALLYPSO. Dim 29 Mar - 20:11 | |
| - bah ... ma présentation elle est pas si bien écrite que ça je trouve ; longue mais mal écrite. --' enfin bref ; au plaisir de rp avec toi =DD
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| | Sujet: Re: •• The world only goes round by misunderstanding ; CALLYPSO. | |
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| | | | | | •• The world only goes round by misunderstanding ; CALLYPSO. | |
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